par villon » 17 Sep 2017, 12:56
Si l’on prend en compte le Graphisme, le livret riche et complexe, la qualité du papier très texturé, légèrement huilé, la teinte du jaune blanc qui varie selon les Éditions, de la typographie exacte, et de retrouver la teinte NOIRE équivalente de la pochette, le poids du cartonné de l’ensemble, je dois reconnaître que le travail est immense en plus de la partie sonore et au moins pour les nouvelles générations, il sera disponible. J’en ai d’ailleurs vu de plusieurs sortes au cours des conventions du passé lorsqu’il fallait faire des efforts considérables pour retrouver la trace de l’animal, « rien à raconter », « train du soir », Orion il était facile de mettre la main dessus, c’était plutôt d’en avoir un moins rayé que celui original de la maison pour « Golgotha ».
Je le réécoutais à la Discothèque de Pompidou au milieu des Clodos affalés avec les sacs Tati et des casques puants de sueur entre deux parois de verre sur les chaises en cuirs d’époque de la construction du Centre, une femme était chargée de retourner les Faces, mais vers 21 h tout ça avait de l’amplitude dans cette architecture et l’ambiance qui convenait à ce mystère ambulant hugolien d'un samedi soir fuyant.
Et meure ou Pâris ou Hélène Quiconque meurt, Meurt à douleur
Celui qui perd vent et haleine Son fiel se crève sur son coeur
Corps féminin, qui tant es tendre Oui, ou tout vif aller ès cieux