page 132 à propos d'un certain "les petites bottes vertes" d'un certain gégé... on peut lire.
"Sans refaire le coup du mec mystérieux et complexe qui fut sa plus évidente marque de fabrique, ou en tout cas celle que les médias lui collaient à coup sûr, on peut dire que manset n'est pas du genre faconde facile, extraverti et transparent, le type qui se livrerait tout comme ça, sur sa vie et allez hop! sur sa musique, ses sources et ses inspirations. Pas de concert, albums au compte-goutte, voyages lointains, vie ultra discrète, le monsieur fait profil bas, c'est rien de le dire et son détachement flagrant ajoute à son aura romantique proprice aux cultes. la surprise est d'autant plus grande à la lecture de ce livre carrément autobiagraphique qui livre enfin quelques clés sur l'originale et tortueuse personnalité de Gérard Manset. originalité et détours qui caractérisent également ce récit construit d'évocations et de reculs, de flous et de précisions, de portraits et d'impressions, de laconisme ou de poésie presque lyrique. on y découvrira un Manset pas si solitaire, ses amours et ses amitiés rythment le récit, mais aussi un fervent voyageur parfois immobile dont les aventures musicales ou trés terrestres ont nourri sa belle plume et sa palpable générosité. le meilleur de manset."
c'est bof et mal écrit... voir fumeux mais bon.. je transcris quand même.
à noter aussi dans le même magazine; une interview de luz (où ais je mis mon sac à vomi) qui se prend pour lester bang... (il faut qu'il mange encore un peu de soupe)
et une chroniquette négative sur la réédition de ramone's pippin..
comme quoi.
bien à vous