yep lu il y a un baille déjà...
disons...
que jeune ça mythifie, ça rivage le cerveau, fait pousser des envies de cocotier, de rivages profond à explorer, de couleur à exploser à la gueule du monde...
ça donne une idée ennivrante de la pauvreté, de l'ailleurs, ça donne envie de rejetter la civilisation, ça pue le relent de "bon sauvage" qui ne veut pas se l'avouer.
ça répond au sentiment d'exclusion et du "j'ai pas ma place" (personne ne m'aime) de l'adolescent type... qui aurait envie de s'engager...
ça transcende la haine en capacité créatrice.
ça fait gentiment l'impasse sur l'apprentissage.
de la beauté caché du tas d'ordure ... enfin si j'ose dire.
après...
on à beau dire,
s'extasier devant les toîles de gauguin
on finit d'y croire !
on se dit que si stéphane commence sa propore invitation au voyage (brise marine, donc) par ces vers...
c'est qu'il faudra revenir....
et le retour c'est ce qu'il y a de plus dur.
"La chair est triste, hélas! et j'ai lu tous les livres."
plus pratiquement.
un bon bouquin à l'inverse des écrits de klee