Dans un pays de pain d’épices-

Musiques, Cultures, Etc.

Pantera sos

Messagepar villon » 16 Sep 2022, 12:30

Pantera mérite une explication Psy que je n’ai pas ?
Pour un amateur de Contes barbares , du grand méchant loup ?

J’ai ma réponse en direct :
« Oui, c’est un texte freudien, c’est à la fois la mère indispensable et la mère castratrice. » GM
Merci Roland, pour ton aide... C’est la cousine de « Je tuerai la pianiste »...

Dans benzine : la Fontaine de la Vérité d’amour, passe sans doute mal (des phrases comme « Céladon s’en allait par les sentiers moussus, dans les dédales abstraits du conte allégorique… », ça vous segmente forcément votre auditoire…). GM

Pour moi ça va parfaitement, la langue française est respectable, je préfère cela au désespoir musical français en dessous du seuil d’acceptabilité, en Franglais la plupart du temps.
« “Même s’il y a des productions vraiment pas mal au niveau du son, je suis incrédule devant la pop d’aujourd’hui, à cause de textes de plus en plus indigents : quatre mots, trois phrases, des concepts éculés. GM

Mais comme il le dit, il aurait eu plus vite fait d’écrire en Anglais, mais naître en Angleterre il ne peut le refaire !

Vous allez voir qu’il va recevoir un prix aux Victoires de la musique, par Honte du système ‘mafieux’, la mauvaise conscience, sauver leur face. Déjà les Inrocks sont Out car les autres critiques ont l’air plutôt satisfaits !

Benzine : « Le recours à des instrumentations et une production très ‘variétés françaises’ dévalorise clairement des chansons qui, dans un autre contexte, auraient pu devenir des vrais classiques de notre musique, à égalité avec les meilleurs Bashung ou Gainsbourg ».


Non surtout pas eux, ça revient toujours, Bayon le disait aussi, il fait référence à Lumière ? des boîtes à rythmes de l’époque, rectifiées depuis.
Pas d’accord, je me souviens encore dans ces années la majorité des Français c’était Sheila, S.Vartan, Claude François… ou d’autres, rive gauche, on était loin d’Orion à des années-lumière, il faut se rendre compte de ce que ça représentait de l’écouter en 1970 sur un Électrophone en bois, à la platine gondolante, tu mettais le truc les gens fuyaient même dans des milieux plutôt ‘intellos’, ils préféraient, la pure Variété genre Fugain, encore pire qu’aujourd’hui, enfin j’hésite, on est dans le clinquant électronique.
‘Marin Bar’ a eu du succès radio aussi, et ce n’était pas S.Distel quand même ni les Corons, ça me fait mal rien que de les écrire, et Gainsbourg est un grand surfeur des modes outre-Atlantique, il n’a jamais rien créé musicalement, épargnez-moi les insultes.
Modifié en dernier par villon le 23 Sep 2022, 13:24, modifié 1 fois.
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Re: Dans un pays de pain d’épices-

Messagepar Lionel » 16 Sep 2022, 16:06

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Bien loin de "Que ne fus-tu"...
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Re: Dans un pays de pain d’épices-

Messagepar roland65 » 16 Sep 2022, 18:12

Lionel a écrit:
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Pantera mérite une explication Psy que je n'ai pas ?
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Bien loin de "Que ne fus-tu"...


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Messagepar villon » 17 Sep 2022, 12:26

On retrouve la présence d'un son bien familier d'avant, "il faut toujours se dire adieu" de mémoire ?, l'orgue avec ce supplément d'âme "humaine" le Hammond B3 joué par Serge Perathoner 2, 4, 5, 6, 9.
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Re: Dans un pays de pain d’épices-

Messagepar villon » 18 Sep 2022, 17:31

Avec la qualité de cet album et sa richesse, un livre associé ne serait pas étonnant !
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Re: Dans un pays de pain d’épices-

Messagepar Monfreid... » 19 Sep 2022, 14:10

Je me pose des questions, surtout en lisant Villon.

Comme je fais partie des aigris, déçus tout ça, partons du principe que les derniers albums sont tous bons.
Il y a des scories, quelques erreurs ici et là, mais globalement : ce sont de bons albums.

Je ne vois pas l'intérêt de comparer ces albums vis-à-vis des productions actuelles.
D'un point de vue personnel, il me semble que les amateurs de manset ne sont pas jeunes et qu'ils ont tendance à ne pas écouter et à ne pas aimer les productions actuelles. De fait, la comparaison me paraît sans objet.
D'un point de vue un peu plus éloigné, à quel moment les propositions de manset pouvaient-elles se comparer à d'autres productions francophones ? On peut citer quelques noms (en premier me vient Bashung), mais ça me paraît au mieux à la marge (on peut citer Dominique A plus récemment). Il m'a toujours paru "en dehors". Dès lors, la comparaison me paraît également un peu vaine.

De plus, j'ai l'impression qu'il n'y a pas de perception du changement chez Manset.
Je suis étonné (au sens premier, je veux dire sans jugement) de lire une comparaison entre Aphrodite et Orion.
Orion est (volontairement ou non) un pensum, lourd, verbeux, dégoulinant, mais très premier degré dans sa conception, il y a une naïveté frontale, brute qui permet une approche assez "série B" finalement. Je n'écoute pas cet album très souvent, mais je peux le remettre sans souci sur la platine et me faire plaisir, malgré ses défauts.
On retrouve d'ailleurs cette naïveté dans ses productions (pour un joueur de guitare, la liberté, etc. sont des titres gentiment naïfs et désarmants).

Aphrodite s'affiche (au sens : sa couverture) comme une série B. On pourrait croire à une production naïve, mais c'est volontaire, c'est beaucoup plus de l'ordre du "réfléchi", du marketing que de l'ordre esthétique. Pour tout dire, ma plus grande déception de Manset vient de là, j'attendais ce retour à un projet grandiloquent, clinquant, enfantin. Mais, le titre est une référence à un auteur symbolique, les textes se veulent beaucoup plus littéraires (on sent que le temps des expérimentations sonores et primaires est révolu), les passages récités sont plus amphigouriques. Au-delà d'un "j'aime, je n'aime pas", si on fait une comparaison entre les deux concepts, le plus récent est beaucoup plus chargé d'une esthétique maniée, remaniée, ciselée.

Cela revient à comparer une oeuvre de SF des années 1940 à une oeuvre de SF portant sur la réception de la SF en 2020.
(Je ne dis pas que l'on ne peut pas aimer le deuxième, je ne dis pas que ce n'est pas bon, je ne comprends pas la comparaison sur le contenu.)

De plus, le deuxième s'inscrit directement dans "Mansetlandia".

Il y a, pour moi, une bascule entre les premiers opus, les périodes de remaniement (j'enlève un titre, je retire un mot, je remastérise, je compile "définitivement", je recompile définitivement, etc) et la période "j'assume mon œuvre en son entier, c'est désormais Mansetlandia". On passe d'un artisan, d'un faiseur qui a peu de culture et le revendique, à un artiste qui revendique ses références, son statut et son œuvre.
Bien sûr, les sonorités synthétiques, l'utilisation de chœurs parfois pompeux, les rythmes sur deux temps ont toujours été là, mais ça me semble prendre des propensions de plus en plus fortes.

Et, sans doute, le dernier point qui m'interroge, la taille des titres et des textes. Je veux dire, il a toujours fait dans le morceau copieux, occasionnellement jusqu'à l'indigeste, mais c'était souvent au service de la musique, comme écrin à des textes finalement assez courts (2870, marchand de rêve, attends que le temps te vide, etc.) alors que c'est dorénavant l'inverse.

Je lis (pas uniquement ici), des retours élogieux sur ses derniers albums comme s'ils étaient dans la droite ligne de ce qu'il faisait avant, or, j'ai tenté d'expliquer pourquoi dans les lignes précédentes, je ne vois (je n'entends) pas de filiation entre ces productions et ce qui les précédait.

...

Maintenant, je suis acide et virulent, parce que je n'aime pas cette posture. Lavilliers me gonfle, mais il pose ce contrat dès le départ, dès lors un album peut me plaire ou non, je peux penser qu'il en fait trop, il se pose d'emblée comme un poète, voyageur, mythomane. Idem chez Renaud, son histoire change en fonction du moment présent et de ses besoins (qu'il croit ce qu'il raconte, c'est son problème). Il en va de même pour beaucoup d'autres.
Comme Manset est tout seul et qu'il parle avant tout à l'individu (ça n'a jamais été un chanteur de gauche, parce qu'il est marqué du sceau de l'individualité, du mythe romantique), nous avons tous des perceptions et des attentes différentes de son œuvre. Comme en prime, il n'a jamais donné de concert, l'idée d'un rassemblent de fan a peu de sens. Je conçois donc aisément que ma position puisse choquer, faire rire, etc. tout comme je comprends qu'on puisse aimer les derniers disques.
Ce sont vraiment les comparaisons et l'idée de continuité, en mode "aucune surprise, ça reste gégé, toujours le même" qui m'étonne.

ps : j'édite pour préciser que lorsque je dis que la comparaison avec la production actuelle est sans objet, c'est aussi (surtout) parce qu'elle n'existe pas. Personne ici, ne mentionne des albums récents (francophones ou non d'ailleurs) pour dire "hé ! les filles, les gars, vous devriez écouter ça, c'est de la bombe sa maman, surtout telle chanson, tel titre, telle orchestration, pour telle ou telle raison" et personne ne fait une "veille musicale" sur les sorties intéressantes dans tel ou tel genre. De fait, dire "c'est mieux que l'entièreté de la production actuelle" ou "l'industrie du disque ne sort rien de bien", ça me semble un constat personnel, peu probant.
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Re: Dans un pays de pain d’épices-

Messagepar Emmanuel » 20 Sep 2022, 07:21

Je ne suis pas d’accord avec toi quand tu dis que les fans de Manset sont pour la plupart vieux (ça c’est vrai) et qu’ils ne trouvent rien de bien dans les nouvelles productions. Je reste à l’affût de sorties de disques qui vont me transporter (Andrea Lazlo de Simone, Dominique À (pas si nouveau), Natalie Bergman, Daniel Blumberg,…).J’écoute le dernier Manset pour ce qu’il a fait avant sinon ça passerait à la trappe parce que les arrangements ne me plaisent pas et que certaines rimes sont vraiment limites (et puis ce subjonctif qu’on ne voit presque plus dans les livres alors dans une chanson…). Moi j’aime beaucoup 2 titres: sandales noires (qui ressemble à un inédit de Manitoba) et une histoire d’amour. 2 titres c’est déjà pas mal…
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Re: Dans un pays de pain d’épices-

Messagepar roland65 » 20 Sep 2022, 08:50

Monfreid... a écrit:a
Il y a, pour moi, une bascule entre les premiers opus, les périodes de remaniement (j'enlève un titre, je retire un mot, je remastérise, je compile "définitivement", je recompile définitivement, etc) et la période "j'assume mon œuvre en son entier, c'est désormais Mansetlandia". On passe d'un artisan, d'un faiseur qui a peu de culture et le revendique, à un artiste qui revendique ses références, son statut et son œuvre. [...]

Et, sans doute, le dernier point qui m'interroge, la taille des titres et des textes. Je veux dire, il a toujours fait dans le morceau copieux, occasionnellement jusqu'à l'indigeste, mais c'était souvent au service de la musique, comme écrin à des textes finalement assez courts (2870, marchand de rêve, attends que le temps te vide, etc.) alors que c'est dorénavant l'inverse.


Pas d'accord avec tout ce que tu as écrit, mais avec ça, oui...
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Messagepar villon » 20 Sep 2022, 10:41

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Re: Dans un pays de pain d’épices-

Messagepar Monfreid... » 20 Sep 2022, 10:49

@Emmnanuel :
mon propos était (comme souvent) peu clair.
Je ne cherche pas à dire que parce qu'on est vieux (ou un vieux fan, ou les deux ^^) : on n'écoute plus rien. Mais le côté "la production musicale actuelle est nulle" me semble un argument un peu creux. Parce que Manset a toujours (très souvent) été esseulé dans sa démarche et que balancer "toute la production actuelle" avec l'eau du bain me paraît facile. On peut ne rien aimer, mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a plus rien à aimer.

@Roland
tout arrive :mrgreen:
Blague à part. La construction de sa persona ne date pas d'hier, je sais que j'y suis sensible et que ça a tendance à me crisper (plus que de raison).
Sur le plan musical, je conçois que l'on apprécie "Fauvette" (je crois qu'un travailleur social avait expliqué que cela rendait bien son quotidien), mais cette écriture descriptive ne correspond pas à ce que j'apprécie chez Manset, des titres comme celui-ci ou "comme un Lego" ne passent jamais sur ma platine.
Je comprends également qu'un artiste puisse changer ou évoluer, c'est le côté "génial, c'est du Manset tout craché, toujours pareil, toujours le seul" qui m'interroge.

....

Pour revenir sur le dernier album.
Lionel m'a conseillé le deuxième titre : ça le fait (comme quoi)
en revanche, je ne dépasse par "Pantera"
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Re: il y a toujours des mots sur la route

Messagepar villon » 20 Sep 2022, 11:40

villon a écrit:Article du figaro pour les abonnés , publié le 19 ?
https://www.lefigaro.fr/musique/pour-gerard-manset-il-y-a-toujours-des-mots-sur-la-route-20220919


C''est le Figaro d'aujourd'hui le 20 septembre, chanceux avec Charles en couverture...
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Re: Dans un pays de pain d’épices-

Messagepar Monfreid... » 20 Sep 2022, 12:44

Logiquement, pas besoin de compte, d'enregistrement, etc.
J'ai mis uniquement la page avec (le petit) article du Figaro du jour.

https://wetransfer.com/downloads/bfd7e49415271a31f76acb6861074bb420220920114308/cb96e4
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Re: Figaro-20-sept

Messagepar villon » 20 Sep 2022, 13:50

Pour ceux qui n'y arriveraient pas, le lien sur mon drive :
https://drive.google.com/file/d/1-h9xdE9-RLVU9kAHV9mtnTu8-zVUbT-5/view?usp=sharing
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Re: Figaro-20-sept

Messagepar roland65 » 20 Sep 2022, 13:56

villon a écrit:Pour ceux qui n'y arriveraient pas, le lien sur mon drive :
https://drive.google.com/file/d/1-h9xdE9-RLVU9kAHV9mtnTu8-zVUbT-5/view?usp=sharing


Merci !
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Re: Dans un pays de pain d’épices-

Messagepar 42KM195 » 20 Sep 2022, 14:40

bel article sur " Benzine Magazine" qui reprend quelques critiques que l'on lit

"Alors oui, cette musique souffre d’un effet troublant de distance entre Manset et nous, une distance qu’il semble désormais impossible de combler. Il témoigne aussi d’une étrangeté fondamentale, touchant même au kitsch, frôlant parfois le ridicule : le texte du dernier titre, la Fontaine de la Vérité d’amour, passe sans doute mal (des phrases comme « Céladon s’en allait par les sentiers moussus, dans les dédales abstraits du conte allégorique… », ça vous segmente forcément votre auditoire…). Il est si facile – en fait il a toujours été facile, même quand Manset n’avait pas trente ans – de rejeter, voire de moquer cette musique ; pourtant, ce serait aussi accepter de passer à côté d’une BEAUTE rare."
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