On y perçoit la fascination qu'il exerce autour de lui, mâle alpha (qui m'avait échappé) même auprès de toutes ces célébrités, avec celles évoqués dans Bottes (Louis Chédid, Herbert Le Homard, miou-miou, P devers) et les filles de ...(Rois du business), ce qui ouvre un regard nouveau sur son oeuvre musicale et la place dans sa vie "professionnelle", on y sent le fabricant dégagé de son oeuvre préoccupé par le monde économique de sa génération, la réussite facile, apparts de luxes.
Je n'avais pas trop aimé ni "facteur", ni "bashung", je n'ai pas lu le "récits barbares" (tiroir), je trouve que "Royaume", "Bottes", "Cupidon" se suivent dans le temps, et on obtient le visage de sa personnalité kaléidoscope en privé, j'avoue que l'ensemble est différent de ma perception de départ, je le voyais plus timoré, pas timide mais en retenu sacrifiant sa vie pour l'écriture-musique et le voyage, il est en fait très déterminé, plus lion, voir indifférent à ceux qui ne "bouffe" pas la vie, et là je comprends mieux le pourquoi du joueur de Poker. Et étrangement, ce qui me trouble, je m'y sents opposé.