par villon » 25 Nov 2016, 10:39
Je me souviens qu’à l’époque de la première déstructuration vers 1988, il sous-entendit que ce coté défaitiste n’était pas Bouddistement correct, que "Royaume" devait évoquer splendeur, paix, plutôt joie qu’abandon de soi et châtiment. Je trouve au contraire que la force de cet album venait de l’équilibre ténu entre Nirvana Total-Royaume, le Ying et Yang, acceptation-neige, la mer n’a pas..., et réalité qui retombe avec ces fameux titres, l’enfermement du quotidien, l’illusion de cette vision idyllique, mais pleinement ressentie donc a priori vrai, un premier pas vers « Prisonnier de l’Inutile » conclusion à cette question. "Quand j'étais jeune je croyais aux rêves..." mais "fini d'y croire", "le bout du couloir" et pour conclure "seul et chauve". Enfin ce n'est que mon analyse.
Sinon il y a les "rendez-vous" sur le coffret génial, mais où sont passées les... "Atelier du Crabe" ?
Et meure ou Pâris ou Hélène Quiconque meurt, Meurt à douleur
Celui qui perd vent et haleine Son fiel se crève sur son coeur
Corps féminin, qui tant es tendre Oui, ou tout vif aller ès cieux