par villon » 25 Mai 2016, 11:17
Merci pollux
Ah j'étais un grand fan de Richard Desjardins dans les années 80, un poète véritable, les textes superbes, mais où est passé son accent d'Abitibi-Témiscamingue, et sa voix stridente, je ne le reconnais plus, fatigué.
Je réécoute le vinyle "dans ses yeux" magnifique.
Et meure ou Pâris ou Hélène Quiconque meurt, Meurt à douleur
Celui qui perd vent et haleine Son fiel se crève sur son coeur
Corps féminin, qui tant es tendre Oui, ou tout vif aller ès cieux