11 septembre

Musiques, Cultures, Etc.

11 septembre

Messagepar akdonf1 » 03 Juin 2013, 05:48

Avertissement: Toute ressemblance avec ...etc etc ....ne pourrait être
que ...etc etc.

Je venais d'acheter deux escalopes de dinde et une bouteille
de vin blanc et je me demandais bien ce qui allait m'arriver.... Une
voyante, la veille, avait scruté les lignes de ma main et m'avait prédit
qu'un jour j'achéterais "deux escalopes de dinde et une bouteille de vin
blanc" et que ma vie s'en trouverait soudain bouleversée.
J'étais sur le trottoir et j'attendais. Suite aux révélations de la
diseuse de bonne aventure j'avais décidé que plus vite j'en finirais avec
cette histoire mieux je m'en porterais. Et c'est pour cette raison que
j'attendais ce soir -sur ce trottoir- avec mes deux escalopes de dinde et ma
bouteille de vin blanc. J'attendais que ma vie fut bouleversée: c'était le
lendemain de ces prédictions!
J'avais toujours eu horreur des diseuses de bonne aventure et, à vrai
dire, je les avais toujours fuies comme la peste. Mais celle-ci avait pris
ma main de force et à peine l'avait t'elle regardé trois secondes que, sur
un ton plein d'assurance, quasiment doctement, elle m'avait annoncé:
-"Un jour vous acheterez deux escalopes de dinde et une bouteille de vin
blanc et votre vie s'en trouvera bouleversée!".
Puis, avec un sourire aussi large qu'une belle avenue mais ou,
malheureusement, il manquait plus de dents que le diable n'a de cornes sur
le crane, elle m'avait tendu sa propre main et ses doigts avaient fait
"Allez, donne quelque chose, allez, donne un petit quelque chose, allez, ne
te fais pas prier, DONNE!"
J'y avais déposé un billet de dix euros, puis un billet de cinq, à nouveau
elle s'était fendu d'un large sourire édenté puis s'en était allée vers
d'autres mains, d'autres destins....
Nous êtions en septembre, un jour de semaine -je ne sais plus lequel!-
il était 19heures45 et j'attendais donc sur le trotoir avec mes deux
escalopes de dinde et ma bouteille de vin blanc que ma vie fut boulersée....
A 19heures49 une fille m'accosta et me demanda si j'avais envi de
rester seul ce soir. Je lui répondis:
-"Aimez-vous les pâtes à la Bolognaise?"
A 19heures52 un policier m'accosta et me demanda:
-"Vos papiers sont-ils en régle?"
Je lui répondis:
-"Les carottes sont cuites"
A 20heures02 une anglaise égarée aux alentours de mon supermarché
préféré m'accosta pour me demander:
-"Do you speak english?"
Apparemment, elle n'avait rien de mieux à faire...
A 20heures05, ma vie n'était toujours pas bouleversée! Du coup je
décidais d'aller au "Chiquito", mon bar préféré, lequel est voisin de mon
supermarché préféré, qui lui même est voisin de mon lavomatique préféré -le
bien nommé "Lavatronic"- qui lui même est voisin d'un vieil immeuble en
brique rouge où habite Nicole, laquelle Nicole est mon soleil, et, quand
plus rien ne va plus, que les jeux sont faits ou que les carottes sont
cuites, c'est selon, je vais la voir, et je me suspends à l'un de ces
rayons. C'est pour ça que j'aime Nicole: parce qu'elle a toujours un rayon
pour moi.... Et Nicole, figurez-vous que c'est au "Lavatronic" que je l'ai
rencontrée. Un jour ou, comme à mon habitude, j'y lavais mon linge.
Ce jour-là, Nicole y séchait d'immense draps ornés d'immenses fleurs.
Alors je lui avais dit:
-"C'est bizarre toutes ses fleurs qui séchent en tournant en rond"; elle
m'avait souri, puis m'avait demandé:
-"Ca vous dirait qu'on les compte ensemble!?"
-"Pourquoi pas!" lui avais-je répondu.
Nous avions fini l'après-midi ainsi, en comptant le nombre de fleurs de ses
immenses draps, et chaque fois que la machine s'arrêtait j'allais mettre une
pièce dans la "centrale de paiement". Puis, le soir venu, je lui avais pris
la main et nous êtions aller boire un verre.
J'avais revu Nicole -au "Lavatronic"-, nous avions encore passé de
longs moments à regarder tourner ses draps, à compter les fleurs, et, un
jour, notre relation prit un drôle de virage et j'allais compter les fleurs
chez elle, dans son lit. Et c'était beaucoup plus simple ainsi....
Au sixième demis le barman me demanda s'il m'était possible de poser
mes deux escalopes et ma bouteille de vin blanc ailleurs que sur le bar.
A 22heures30 qu'elle ne fut pas ma surprise quand je vis entrer
au"Chiquito" l'anglaise de tout à l'heure, "l'égarée" qui m'avait demandé:
-"Do you speak english?"
Elle se plaça à côté de moi et me tapa dans le coude:
-"Tu bois un coup?"
Je lui fis:
-"Vous n'êtes pas anglaise?"
Nous bûmes plusieurs verres ensemble mais ne me demandez pas combien!
Toujours est-il qu'à un moment je me retrouvis avec, à ma droite, la fausse
anglaise, et, à ma gauche, le policier qui m'avait demandé deux heures
auparavant si mes papiers étaient en régle. D'où sortait-il? Je ne saurais
le dire! Toujours est-il qu'il était là, à ma gauche, et que tous les trois
-lui, la fausse anglaise et moi- nous bûmes quelques verres. ....Et ne me
demandez pas combien!
Quand je voulus sortir du "Chiquito" je tombais sur la fille qui
m'avait demandé si je voulais resté seul ce soir alors, au lieu de sortir
-et en sa compagnie- je rebroussais chemin et retournais au bar. Le policier
et la fausse anglais étaient toujours là, chacun se présenta à la nouvelle
arrivée et je remarquais soudain que la fille avait une jupe si courte que
mon sang ne fit qu'un tour et que ma main, sans que je ne me rende compte de
quoi que ce soit, s'était éprise de sa taille: elle s'était mise à
l'enrober. Mais l'envie de vomir fut plus forte que tout et je n'eus guère
le choix: à défaut de vomir sur sa jupe il me fallait au plus vite rejoindre
les toilettes! Je me précipitais donc en direction de la porte sur laquelle
était marqué "Lui" - "Elle" et là, après m'être rué sur la porte anotée
d'un "Lui", je me jetais sur la cuvette blanche et vomissait toutes mes
entrailles. Puis j'engageais une conversation philosophique avec les
toilettes:
-"Vous avez vu dans quel état je suis!?"
De ce que me répondire les toilettes je ne retins pas tout, ni ne
compris grand-chose, toujours est-il qu'à un moment je revins au bar.
Le policier avait l'une de ses mains autour des hanches de la fille en
mini-jupe et il serrait la fille comme si elle lui appartenait depuis la
nuit des temps. Elle semblait être devenue "sa" propriété! Je ne fis
semblant d'aucune gène et, comme les verres étaient vides, proposais une
tournée. Chacun paya encore une tournée puis le bar ferma et chacun rentra
chez soi. Du moins c'est ce que je me forçais à croire.... En tout cas,
c'est ce que je fis! Et je n'essayais même pas de faire un détour vers
l'immeuble de Nicole: les carottes étaient vraiment VRAIMENT trop cuites, ou
les jeux vraiment VRAIMENT trop faits; c'est selon!
Une fois arrivé dans mon 15 mêtres-carrés je me couchais tout habillé.
Avec mes chaussures. Et avant de plonger dans les bras de Morphéer, le
regard plongé dans le plafond qui vacillait tout là-haut au-dessus de ma
tête, je m'interrogeais: " Mais où donc sont passées mes deux escalopes de
dinde et ma bouteille de vin blanc!?
Le lendemain nous êtions le 11 septembre et quand je me réveillais deux
avions venaient de s'écraser sur New-york. La radio ne cessait de diffuser
la nouvelle en boucle, comme une ritournelle obsédante. J'étais encore saoûl
de la veille et les prédictions de la diseuse de bonne aventure revinrent
frapper mon esprit telle un boomerang que j'aurais lancé il y a dix mille
ans. Et soudain je me sentis coupable! Le lendemain d'une mémorable cuite
c'est toujours comme ça: on se sent coupable. Et, dès-lors, la seule
solution que j'envisageais, la seule qui me paraissait viable et être à la
hauteur de ce désastre était d'aller au supermarché m'accuser de tout. Je
veux dire: de tout ce bazar! Mais au supermarché personne ne me crut. Il ne
se rappelait même plus que j'avais acheté deux escalopes de dinde et une
bouteille de vin blanc la veille! Et au "chiquito" non plus, où j'allais
juste après, personne ne me cru! Au "Chiquito" où, comme dans tous les
autres bars de la capitale sans doute, le téléviseur passait en boucle les
images des deux avions. Et le barman, après avoir vu la scène des dizaines
et des dizaines de fois, avait beau zapper, rien n'y faisait, toutes les
chaînes passaient le même programme: ces deux énormes engins qui venaient
frapper de plein fouet les deux tours. Et dans ses images il y avait quelque
chose de totalement irréelle, de proprement incroyable, et c'est comme s'il
eût fallut les passer et les repasser encore, les voir et les revoir encore,
pour, qu'enfin, cette incroyable scène finisse par tomber -vraiment- dans le
domaine de la réalité.
Après trois demis le barman me confia:
-"T'en tenais une bonne hier!"
Je lui répondis:
-"T'aurais pas vu deux escalopes de dinde et une bouteille de vin blanc par
hasard!?"
Il me dit, sur un ton surpris: "Non!" puis ajouta, sur fond d'écran ou les
tours n'arrêtaient pas de s'écrouler:
-"Ah, au fait, t'es au courant ...parait que "Le Lavatronic" va fermer!"


Désolé pour le pavé, je sais mal utilisé le traitement de texte.
akdonf1
 

Messagepar akdonf1 » 03 Juin 2013, 05:53

vous en demandez Ankor ?
akdonf1
 

Messagepar Claire » 04 Juin 2013, 18:12

super !

(c'était un lundi)
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Claire
 
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Messagepar akdonf1 » 05 Juin 2013, 06:36

Merci Claire.



Je revenais des puces. J'étais assis dans le bus numéro 60. J'avais de
la chance. Esayer de vous aseoir dans le bus numéro 60, vous m'en direz des
nouvelles. Sauf à vous y asseoir en début de ligne vous n'avez pratiquemment
aucune chance. Il est toujours pelin comme un oeuf et, à chaque arrêt, il
est pris d'asaut comme si sous ses sièges dormaient des lingots d'or. Et si
vous demandez au chauffeur comment se fait-il qu'il n'y a pas plus de bus
sur cette ligne, il vous répond que d'après les statistiques de la R.A.T.P
cette ligne n'est pas rentable. Sous-entendu: ce bus est toujours plein mais
comme la moitié des gens ne payent pas...
J'étais donc asis dans ce bus, au milieu, et je lorgnais mon voisin.
J'étais côté fenêtre, lui se tenait à ma gauche, et les coups de coude des
pasagers qui tentaient de parvenir au fond du bus par l'allée centrale,
c'était donc pour lui.Je le regardais en coin, discrétement. Son air de
sortir de prison avait attiré mon attention. Je ne devais pas l'observer
asez en coin, ou asez discrétement, car, à un moment, il m'a fait:" Pourquoi
tu me regardes comme ça!?". Le tutoiement de la part d'un inconnu
désarçonne, passé l'instant de surprise je lui ai calmement répondu:" Vous
avez la t^te de quelqu'un qui sort de prison". Il m'a rétorqué:" De maison
d'arrêt, plus exactement".
La ville défilait et c'est surtout la misère qui s'étalait sous mes
yeux. Il n'y avait jamais eu autan de gens qui mendiaient, ou qui
n'attendaient plus rien de la vie, écrasé d'alcool et dormant n'importe où.
Dans ce bas-monde, la misère semblait se propager aussi vite que le
progrès." On aurait pu attendre mieux du 21 ème siècle!". J'avais eu le
temps de penser cela avant que les controleurs n'arrivent. Personnellement,
entre la prison et la maison d'arrêt, je ne voyais pas très bien la
différence et quand mon voisin m'avait repris "De maison d'arrêt, plus
exactement", je n'avais rien ajouté, je ne voyais vraiment pas ce que je
pouvais ajouter à cela, j'étais juste un peu gênè, alors j'avais tourné mon
regard du côté de la fenêtre, et mes yeux avaient plongé dans cette misère
qui se répandait ici-bas plus vite que la mauvaise herbe dans n'importe quel
jardin. Quelques secondes peut-être. Juste quelques secondes avait duré ma
plongée au dehors. Et ce laps de temps avait suffi aux contrôleurs pour
monter. Et à la moitié du bus pour descendre.
Ils étaient montés par la porte du milieu -la sortie- et nous êtions
tous les deux, mon voisin et moi, les premiers à qui ils allaient demander
leur titre de transport. Avec un pincement au coeur j'ai glissé ma main dans
la poche gauche de mon jean's et j'ai été soulagé de sentir l'enveloppe
plastifiée de mon pas. ... " Merci bien".
Ils se sont adressés à mon voisin. "Monsieur". Il leurs a tendu son
ticket. L'un des contrôleurs l'a regardé, de près, d'encore plus prés,
d'encore encore plus près, il l'a montré à son collègue, puis l'a rendu à
mon voisin en lui énonçant sur un ton professoral et monocorde: " Monsieur,
votre titre de transport n'est plus valable, vous l'avez oblitéré à 9h30 et
il est 20 heures passé. Un titre de transport n'est valable qu'une heure.
Veuillez me présenter une pièce d'identité, s'il vous plaît".
C'est quand le contrôleur avait énoncé cette phrase que je l'avais
reconnu, oui, c'était bien lui,c'était les mêmes, LUI et ses collègues, avec
qui j'avais eu maille à partir quelques mois auparavant. M'avait-il reconnu,
je n'en savais trop rien!? Rien ne le laissé supposer, en tout cas, et
maintenant, en écolier consciencieux, il notait les coordonnées de mon
voisin, lequel venait de lui tendre un permis de conduire en charpie. Quel
bon élève ce contrôleur! Combien il s'appliquait pour remplir sa
contravention. Et mon voisin avait beau s'excuser "Je sors de maison
d'arrêt" rien ne pouvait arrêter le bon élève: on arrête pas un bon élève
quand il est lancé! Et le bon élève s'en foutait pas mal de savoir d'où
sortait mon voisin, il pouvait bien sortir d'où il voulait, de maison
d'arrêt, de maison de repos, d'une église, du ventre de sa mère, il notait.
NOTAIT.
Son exercice fini, le contrôleur avait demandé à mon voisin de signer,
et celui-ci s'en était acquitté de bonne grâce. Et à la question:
"Voulez-vous payer 30 euros tout de suite ..ou 90 euros sous un mois!?",
mon voisin avait répondu: " Je vous écrirai ...de toute façon cette adresse
n'est plus valable, j'habite plus nulle part, j'ai plus rien, vous savez ce
que je vais en faire de vot'papier...". Puis il s'était tu, et avait empoché
l'amende avec dédaim. Mais son silence avait été éloquent. Tout le monde
l'avait compris. Et contre quelqu'un qui n'a plus rien, vous pouvez faire
quoi? Rien! Alors les contrôleurs s'en étaient allés au fond du bus. La
queue entre les jambes.
Après cela il s'était adressé à moi comme si il me connaisait depuis la
nuit des temps. " Tu comprends, je sors de maison d'arrêt, quand tu sors de
là qu'est ce que tu peux faire!? , j'ai pas d'endroit où aller, rien à
espérer de personne, alors je passe mes journées dans le bus, je prends un
ticket le matin parce que ma mère m'a toujours dit que quitte à être
malhonnête il ne fallait pas l'être tout à fait, qu'ainsi t'aurais toujours
une petite chance de t'en sortir, et je passe ma journée ici, c'est le bus
le plus coloré et le plus sympa que j'ai trouvée, il s'y passe toujours
quelque chose ...La preuve!".
Je lui ai répondu:" C'est pas idiot ...mais dis, j'ai déjà eu à faire à
ces contrôleurs, ça te dirait une sortie en chanson!?". Il m'a fait:" Ma
foi, si y a moyen de rire un peu, pourquoi pas!". Je l'ai alors interrogé:"
Tu sais chanter?". Et il a presque crié:" C'est pour chantage que ch'uis
tombé, alors tu parles que je sais chanter!". J'ai alors griffonné ma petite
chanson sur un bout de papier :
"Et maintenant c'est toi que je vais faire marcher
Je suis roi des fourmis
Mi-santhrope et petit
Ty-rannique et gentil
Pas d'impôt sur la vie
... Z'avez pas vu ma brosse à dent!?".
Je lui ai tendu le papier. Il a fredonné les airs, puis m'a dit, en me
montrant les différentes phrases:" Ca c'est d'Eileen, une reprise d'un hit
américain écrit par Lee Hazlewood, ça c'est de Polnareff, et ça c'est
certainement un extrait de la chanson "7 heures du matin" de Jacqueline
Taïeb. J'étais soufflé. Cet homme sortait de prison, euh, pardon, de maison
d'arrêt, et c'était un vrai maître chanteur. C'est la première fois de ma
vie que j'en voyais un, un vrai, un en chair et en os! "C'est le bon-dieu
qui t'envoie, t'es un vrai maître-chanteur, le premier que je rencontre!"
ai-je laissé échappé avec de l'admiration dans la voix. Puis, mon étonnement
et mon émotion passés, je lui ai expliqué mon plan...
... A l'arrêt suivant, les contrôleurs sont descendus. Tous deux nous
leurs avons emboités le pas. J'ai fais " ...1 ...2 ...3" et, en coeur, nous
avons entamé notre hymne:
" Et maintenant c'est toi que je vais faire marcher
Je suis roi des fourmis
Mi-santhrope et petit
..."
Le maître-chanteur s'appelait Daniel, et avec Daniel on s'est retrouvé
devant deux demis. Il trouvait que la vie ressemblait à un train fantôme.
J'étais assez d'accord. Alors on a bu. On s'est envoyé 4 ...5 ...6 tournées!?
Au juste, je ne sais plus! Il m'a parlé de son art, je lui ai parlé de Dieu,
j'ai payé puis on est ressorti dans la rue, où plein de gens s'égaraient
dans leur propre vie. Un train-fantôme, oui! On s'est serré la main,
éloigné, lancé un dernier signe, puis chacun a continué son chemin dans le
chaos du monde. Mais c'était encore plus dure que quelques heures
auparavant, et pour lui, et pour moi, car tous les deux on titubait! Mais
pour ma part je me consolais en me disant que maintenant je connaissais la
différence entre une prison et une maison d'arrêt.


Et si tout était faux.
Modifié en dernier par akdonf1 le 05 Juin 2013, 08:57, modifié 1 fois.
akdonf1
 

Messagepar akdonf1 » 05 Juin 2013, 06:41

ON fait comment pour revenir et corriger un post ?
akdonf1
 

Messagepar Claire » 05 Juin 2013, 08:38

ben à droite de ton texte il y a une feuille avec des ciseaux et à côté "editer" tu cliques dessus, tu corriges dans le cadre et tu repostes.
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Claire
 
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Messagepar akdonf1 » 05 Juin 2013, 08:54

Merci claire, je vais faire de la couture.
akdonf1
 

Messagepar Claire » 07 Juin 2013, 13:40

j'aime vraiment beaucoup tes histoires.
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Messagepar akdonf1 » 09 Sep 2013, 20:19

je remonte un instant celebre
akdonf1
 

Messagepar akdonf1 » 22 Sep 2013, 22:58

putain G oublié le 11 septembre C fou.
akdonf1
 


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